MADAME |
MONSIEUR |
Enthousiasmée par l’apéro (un Kir Royal cévenol) et le rosé de Monoblet (Les 2 jumelles, en hommage aux montagnes du coin) et la table roborative de La Cigaloise (une excellente table dont il faudra reparler) Mme a préféré passer son tour. Ceci dit, sans avoir vu le concert, Mme a cédé aux charmes de Sandra Nkaké, dès la première écoute du CD. Cette sensuelle chanteuse plus punchy que Sade, aussi stylée que Grace Jones, a du velours dans la voix; une nouvelle black diva ?
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Enthousiasmé par un entrefilet annonçant la sortie d’un album (Nothing for granted) entrevu sur la 2e chaîne française et séduit par les traces Youtube de l’artiste Sandra Nkaké, M. avait organisé le périple estival pour s’assurer d’assister aux 6e Nuits de Saint-Hyppo où le phénomène était tête d’affiche.
Sont-ce la puissance et maestria vocale qui s’étirent des graves les plus infernales aux notes de tête qui donnent le tournis le tout supporté par des musiciens hors pair ? Est-ce le show parfaitement maîtrisé, du son aux lumières en passant par les costumes, la conduite et le jeu de scène ? Mais M. est unanime : quel show ! Quel bon concert ! Quelle énergie, quel peps ! Que des bons morceaux ! Quelles belles reprises ! Oser se frotter à Rage against the machine et Led Zeppelin quand on est catalogué groove, jazz, mérite une collection de superlatifs et de ! Oser un slow, des a capella et offrir 3 rappels. Un bonheur ! Même la pluie a refusé d’interrompre la fête.
Selon ses papotes avec l’artiste, M. certifie qu’un tourneur belge s’intéresse à la tonique Sandra et qu’un passage en 2013 dans nos mornes plaines n’est pas à exclure. A suivre sur son site web. |
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